Bonjour, moi c’est Myriam, spécialiste communication, facilitatrice et animatrice.

Depuis plus de sept ans, je travaille dans le secteur associatif, principalement en tant que communicatrice, militante et formatrice. J’ai construit ma carrière et mon expertise en défendant la justice sociale, la communication inclusive et des pratiques équitables.

J’ai eu la chance de collaborer sur des thématiques de communication, de narration, d’intersectionnalité et d’inclusion avec la Commission européenne, Garance ASBL, Gams Belgique, le réseau européen End FGM, le Bureau de l’UE de la Croix-Rouge et IPPF Europe et Asie centrale.

La communication est centrale

La communication est au cœur du changement social. Qu’il s’agisse de campagnes publiques ou de discussions entre personnes, notre manière de communiquer façonne nos réalités. Et pour transformer ces réalités, nous devons apprendre à mieux nous connecter aux autres.

Dans mon travail sur les violences de genre, la décolonialité et l’antiracisme, j’ai constaté de près à quel point des narratifs néfastes et faux peuvent freiner nos avancées et nous couper de la solidarité. Une communication mal utilisée ou instrumentalisée perpétue ces narratifs, et c’est aussi à travers la communication que nous pourrons les déconstruire.

Mon approche : empathie et co-création

Je porte tous mes projets avec une approche fondée sur l’empathie et l’espoir radical.

Le monde est de plus en plus polarisé. Partout, les idéologies clivantes gagnent du terrain. Travailler pour la justice sociale peut parfois ressembler à une lutte constante contre des vagues de résistance et de “backlash”.

Dans ces moments de frustration, il est facile de tomber dans le reproche mutuel. Il est tentant de se réfugier dans le désespoir ou dans la pureté militante avec ses méthodes punitives, parce que nous avons le sentiment que c’est le seul moyen d’avoir un impact.

Mais notre pouvoir ne réside pas dans la punition des autres et le perfectionisme. Il réside dans la construction d’une compréhension mutuelle au-delà des barrières artificielles et dans la co-création d’une vision commune de l’avenir.

Je crois que la plupart des personnes engagées pour la justice sociale ont de bonnes intentions, même si leurs stratégies peuvent parfois être mal orientées. Je crois en la justice réparatrice en cas d’abus et je crois aussi que l’on peut manquer d’informations, faire des erreurs, causer du tort… et rester digne d’être écouté.e et traité.e avec compassion.

Personne n’est jetable sur le chemin de la libération.

Cette conviction guide mon approche dans l’écriture, l’animation d’ateliers et la consultance. Nous co-créons des espaces bienveillants, sans jugement, où chacun.e peut s’exprimer librement, échanger des idées et aborder des conversations difficiles avec authenticité.

Ensemble, nous développerons des outils pour favoriser la compréhension et gérer les désaccords de manière constructive.

Si vous recherchez un accompagnement pour construire des narratifs inclusifs, concevoir des campagnes percutantes ou favoriser un engagement communautaire authentique, je serais ravie de vous aider.

Je travaille principalement en anglais et en français. J’utilise le pronom elle.